C’est par cette question que je souhaite aujourd’hui vous faire découvrir une technique accessible à tous, qui nécessite peu de temps et de matériel et qui va vous permettre d’être acteur de votre changement. Selon moi, ce sont ces petits gestes qui nous aident à avancer par nous-mêmes (en attendant une séance en transgénérationnel par exemple !).
Enfin, elle me plaît car c’est au cours de ma formation qu’une amie me l’a fait connaître, et c’est en la partageant avec vous que je pense à tous les bons sentiments que j’ai envers cette amie. Voici de quoi il s’agit :
Se libérer des liens toxiques avec la technique des « bonhommes allumettes ».
La technique des « bonhommes allumettes » a été créée par Jacques Martel en 1993, et présentée dans son ouvrage Atma, le pouvoir de l’amour. Jacques Martel est un canadien aux multiples casquettes, à la fois formateur, auteur et conférencier en développement personnel. Ses ouvrages sont notamment destinés « aux personnes en quête de guérison et de mieux-être ».
Dans quel cadre utiliser cette technique ?
Ce procédé est une façon simple et ludique pour nous aider à nous défaire des liens d’attachement conscients ou inconscients qui gênent nos relations avec les autres. Il s’agit donc de s’aider soi-même à se sortir de situations bloquantes.
Comment ça fonctionne ?
Cette technique va agir sur notre subconscient et nous libérer de nos émotions négatives en coupant les liens d’attachement toxiques qui nous empêchent d’avancer.
Petit point important à noter : on ne peut pas faire « les bonhommes allumettes » pour couper les liens d’attachement entre deux autres personnes, on ne peut le faire qu’entre nous et une autre personne.
Comment procéder ?
Il faut vous munir d’une feuille, d’un stylo, de ciseaux.
On commence par se dessiner soi-même, en forme de « bonhomme allumette », c’est-à-dire en « bonhomme bâton » (comme à l’école maternelle, quand on vous dit que cet exercice est ludique, il est aussi agréablement régressif !). En dessous, on écrit notre prénom et notre nom de famille.
A coté de ce bonhomme, on dessine un autre bonhomme, en écrivant également en-dessous son prénom et son nom de famille.
Autour de chaque bonhomme, on dessine un cercle de lumière (comme un soleil). Ces cercles représentent le fait qu’on souhaite le meilleur à chacun (à moi et à l’autre).
On trace ensuite un grand cercle de lumière pour entourer les deux premiers, pour symboliser qu’on souhaite le meilleur pour tout le monde.
On relie ensuite chacun des chakras de notre bonhomme au chakra de l’autre : chakra racine, sacré, plexus solaire, cœur, gorge, troisième œil et chakra couronne. Si vous ne connaissez pas l’emplacement des chakras, pas de panique ! Il vous suffit de suivre l’illustration suivante, et pourquoi pas sortir vos crayons de couleurs, c’est l’occasion !
Enfin, avec une paire de ciseaux, on découpe la feuille en deux, en séparant les deux bonhommes.
Attention, on ne fait pas de vaudou, on ne mutile pas nos bonhommes avec les ciseaux !
Et c’est fini ! Les liens toxiques sont rompus ! Il n’est pas utile de garder les morceaux de papier par la suite, vous pouvez les jeter/brûler/etc… (Les manger, peut-être pas,… c’est vous qui voyez !)
A vous de jouer maintenant, vous seul(e) êtes en mesure d’amorcer ce changement.
Et si vous le souhaitez, racontez votre expérience dans les commentaires !
Pour aller plus loin : plus de détails sur le cheminement et le travail de Jacques Martel sur son site internet.