Travailler sur le transgénérationnel : et après ?

En travail transgénérationnel émotionnel et comportemental, méthode Jade Colline, nous avons, comme j’ai pu en parler dans des précédents articles, 3 séances pour couvrir l’intégralité de l’arbre généalogique émotionnel.

L’objectif : apaiser les émotions négatives léguées par nos générations.

Souvent ces séances suffisent à vous apporter le mieux-être que vous attendez. Mais parfois, dans un laps de temps plus ou moins long vous revenez vers moi pour poursuivre le travail.

C’est à ce moment-là que je vous propose des séances de suivi.

Elles s’adaptent à toutes les situations :
– un sentiment de mal être que vous n’arrivez peut-être pas à nommer ;
– des émotions incontrôlables ;
– des troubles impactant votre quotidien (alimentaires, sommeil, etc.)

Récemment en fin de 2ème séance, j’ai eu une personne qui, ravie du travail effectué jusqu’ici, a commencé à me poser des questions sur une problématique qu’elle avait depuis longtemps. Elle n’avait jamais réussi à la régler malgré toutes ses tentatives.

Il s’agit d’un cas de relation compulsive avec la nourriture. Nous en avons discuté et avons décidé qu’après cette séance, nous en ferions une 4ème pour assurer son suivi.

Pour rappel, les séances sur des points spécifiques ne peuvent pas être faites avant les 3 transgénérationnelles.

C’est ainsi que j’ai préparé une séance dédiée à l’apaisement de ce trouble. J’ai demandé toutes les précisions nécessaires afin de l’orienter au mieux mais je ne vous raconterai pas le contenu de la séance, puisque celle ci est évidemment privée.

Par contre je peux vous affirmer qu’en travaillant sur le terrain émotionnel, j’ai eu un retour très positif de cette personne ! Aujourd’hui elle sent que ses pulsions se sont vraiment apaisées. Ce n’est pas de la magie et ça ne s’est pas fait en un claquement de doigt, mais petit à petit ses « fringales » sont devenues moins violentes.

Peut-être nous reverrons-nous pour une autre séance afin de poursuivre dans ce sens. C’est à elle de décider et elle reviendra vers moi si elle en ressent le besoin.
J’en profite pour la remercier de la confiance qu’elle a placé en moi et en la méthode.

Attention, je le redis encore une fois, je ne suis pas médecin, je vous propose un accompagnement émotionnel, n’hésitez pas à consulter les intervenants du corps médical / paramédical en cas de besoin.

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